Artistes présents:
Sandrine Piau, Bertrand Chamayou, Anaïck Morel, Stanislas de Barbeyrac, Florian Sempey, David Kadouch, Natalie Clein, Alexandra Conunova, Insula Orchestra, Accentus Choir
En préambule des festivités de 2020 qui célèbreront les 250 ans de la naissance de Beethoven, Laurence Equilbey à la tête du Insula Orchestra propose un programme unique entourés de solistes d'exeptions : Sandrine Piau, Anaïk Morel, Stanislas de Barbeyrac, Florian Sempey et le pianiste Bertrand Chamayou pour la Fantaisie Chorale, puis la violoniste Alexandra Conunova, la violoncelliste Natalie Klein et le pianiste David Kadouch dans le Triple Concerto.
Artistes résidents de la Seine musicale, Laurence Equilbey et Insula orchestra ont enregistré La Fantaisie chorale, en avril 2017 lors du concert d’inauguration de cette nouvelle salle spectaculaire, avec les voix de Sandrine Piau, Anaïk Morel, Stanislas de Barbeyrac, Florian Sempey et Bertrand Chamayou au piano.
L'enregistrement du Triple Concerto, est également tiré de la captation de concerts donnés début 2018.
Le piano utilisé à la fois dans la Fantaisie Chorale et le Triple Concerto est un Pleyel de 1892 (le même que celui de l’enregistrement par Erato des concertos pour piano nos 4 et 5 de Beethoven par Nicholas Angelich avec Laurence Equilbey et Insula orchestra).
«C’est un excellent compromis entre les pianofortés de l’époque de Beethoven et ses instruments modernes. Il produit un mélange unique avec les instruments d’époque d’Insula et est également présenté avec succès dans l’auditorium de La Seine Musicale. ” Laurence Equilbey
En choisissant ces trois solistes - Kadouch, Conunova et Clein, Laurence Equilbey a délibérément réuni des artistes qui n'avaient jamais collaboré en tant qu' « ensemble ». Elle souhaitait adopter une nouvelle approche, libre de toutes traditions ou habitudes formatées.
Anna Conunova et Natalie Clein utilisent ici des cordes en boyau ainsi que des archets d'époque. Avec David Kadouch sur son Pleyel de 1892, elles trouvent et transmettent, la joie du véritable esprit beethovénien. C'était un réel travail d'équipe pour un bonheur musical partagé.