Nigel Kennedy, « l’enfant terrible » du violon, est de retour avec un nouvel album consacré à George Gershwin ! Entre Classique et Jazz manouche, comme un clin d’œil à Stéphane Grappelli, Nigel Kennedy passe du violon à l’alto et du piano au clavecin et enchaine tous les tubes du grand compositeur américain avec une virtuosité déconcertante.
“Je suis naturellement un improvisateur. Je suis incapable de rester là en suivant toujours une partition“ dit le virtuose du violon, qui à 13 ans, rejoignait Stéphane Grappelli sur scène à Carnegie Hall, au grand désespoir de ses professeurs de la Julliard School.