Dans la trilogie constituée par les trois symphonies instrumentales, la 7e constitue un cas extrême, le point le plus avancé du modernisme de Mahler.
La réputation internationale de Mariss Jansons en tant que chef d'orchestre Mahlérien est incontestable. On retrouve ici le chef letton très inspiré à la tête le Royal Concertgebouw Orchestra.